Le prix du dévouement : Chronique d’une grand-mère invisible
Je m’appelle Françoise et, à soixante-cinq ans, je me suis retrouvée à sacrifier ma liberté pour mes petits-enfants. Ce choix, d’abord fait par amour, s’est transformé en une prison silencieuse où mes propres enfants ont oublié que j’existe en dehors de mon rôle de grand-mère. Aujourd’hui, je me demande si l’amour familial justifie qu’on s’efface soi-même.