J’ai construit une maison de vacances pour mes petits-enfants, rêvant de rires et de souvenirs partagés. Aujourd’hui, ma fille refuse de revenir, et le silence s’est installé entre nous. Je me débats entre incompréhension, colère et tristesse, cherchant à comprendre où tout a basculé.
Je suis plongée dans une tourmente familiale où mon soutien à mon fils Grégoire lors de son divorce m’a coûté le lien précieux avec mes petits-enfants. Mon mari, Paul, tente de me réconforter, mais la situation semble désespérée. Ma belle-fille, Sophie, a coupé tout contact entre moi et mes petits-enfants, et je me demande si je les reverrai un jour.
À la recherche de conseils sur la façon de gérer l’absence de ma belle-mère. Depuis huit mois, elle n’a ni rendu visite à ses petits-enfants, ni appelé, ni écrit. Nous habitons dans la même ville, à deux pas l’un de l’autre. Personnellement, je n’ai pas besoin de ses visites, mais je suis profondément blessée par son indifférence envers mes enfants. Pourquoi les ignore-t-elle ? C’est comme s’ils avaient été effacés de sa vie.
Ils nous ont rendu visite l’été dernier, mais seulement pour une semaine. Les enfants étaient ravis, courant partout, jouant et profitant du grand air. Nous avions des balançoires dans le jardin et de l’air frais tout autour, mais maintenant ma fille hésite à revenir.
J’aime profondément mes petits-enfants et je chéris chaque moment passé avec eux. Ce sont des enfants merveilleux, mais l’approche parentale de mon fils m’inquiète. Il leur accorde trop de liberté, et lors de mes visites, la maison devient chaotique. J’essaie de les guider, mais ils insistent sur le fait que leur père permet leur comportement. Mon fils les soutient toujours, me laissant un sentiment d’impuissance.
