« On est venus pour fêter, mais tu ne veux pas ouvrir la porte ! »

« On est venus pour fêter, mais tu ne veux pas ouvrir la porte ! »

Je m’appelle Claire, et ce soir, je suis assise derrière la porte de mon appartement à Paris, le cœur battant, alors que ma belle-famille tambourine et crie dans le couloir. Chaque fête est devenue un supplice, un théâtre où je joue la parfaite maîtresse de maison, jusqu’à m’oublier moi-même. Mais aujourd’hui, j’ai décidé de ne plus ouvrir la porte, quitte à tout perdre.