Quand l’héritage fait tomber les masques : le prix amer de la solitude
Je m’appelle Françoise, j’ai 72 ans, et j’ai passé des années à attendre un signe de mes enfants. Mais le jour où j’ai parlé de mon testament, tout a basculé : ma maison, autrefois vide, s’est remplie de cris et de reproches. Aujourd’hui, je me demande si l’amour filial existe encore ou s’il s’est dissous dans la convoitise.