Quand tout bascule : Vivre chez mon fils, ou l’illusion d’un nouveau départ
Je m’appelle Françoise, j’ai 67 ans, et j’ai tout quitté pour vivre avec mon fils et sa femme. Je croyais retrouver une famille, mais je me suis retrouvée invisible dans ma propre vie. Aujourd’hui, je me demande si l’amour filial suffit à combler la solitude.